Que ce soit pour fuir les guerres civiles, la misère ou la famine, la répression politique ou bien simplement pour croire en un futur meilleur, la route de ces déplacés se déroule souvent sur plusieurs années, avec des arrêts pour travailler et se refaire de l’argent, des mois perdus dans des culs de sac ou des centres de rétention, et beaucoup de retours en arrière.
Chaque année, plus de 5000 hommes ou femmes se noient en méditerranée, des milliers d’autres enrichissent les mafias de passeurs, quand encore des centaines d’autres sont victimes de racket, de viols et de meurtres tout au long de la route.
Le prix que paie l’humanité pour la fermeture des frontières de l’Europe...